TOEIC Listening et Reading : 10 pièges à éviter absolument

Le TOEIC est un test standardisé exigeant, qui repose autant sur des compétences linguistiques que sur la maîtrise de ses mécanismes propres. Beaucoup de candidats disposant d’un bon niveau en anglais se retrouvent pourtant pénalisés par des erreurs d’interprétation ou des automatismes mal adaptés au format.

En particulier, les deux grandes sections du test — Listening (compréhension orale) et Reading (compréhension écrite) — contiennent des pièges typiques. Ceux-ci sont conçus pour tester votre attention, votre rapidité d’analyse et votre compréhension fine du contexte professionnel anglophone.

Dans cet article, nous vous présentons 10 pièges récurrents rencontrés dans ces deux parties. Pour chaque cas, vous trouverez :

  • une explication claire du type de piège rencontré,
  • un exemple concret inspiré du format officiel du test,
  • et une stratégie simple et directe pour ne plus tomber dans le piège.

Cette approche technique, centrée sur des erreurs précises, vous permettra de mieux cibler votre entraînement et d’améliorer vos performances de manière efficace.

Piège n°1 : se fier à un mot entendu

Le piège

Dans la partie Listening, notamment dans les photographies ou les dialogues courts, le test joue souvent sur la reconnaissance de mots-clés. Si vous entendez un mot familier ou attendu, vous pourriez être tenté de cocher immédiatement la réponse qui le contient. Pourtant, cela peut être une erreur, car ce mot est parfois utilisé dans un tout autre contexte que celui de la question.

Exemple typique

Un candidat entend : “The man is holding a book.” Et voit comme choix possible :

  • A. The man is reading.
  • B. The book is on the table.
  • C. The man is holding a book.
  • D. The man is buying a book.

Ici, il est facile de reconnaître les mots “book” et “man” dans plusieurs réponses. Pourtant, seule la réponse C correspond mot à mot à ce qui est dit. Si l’on se précipite en entendant “reading”, on pourrait choisir A… qui est incorrecte si l’image ne montre pas explicitement cette action.

L’erreur fréquente

Le cerveau repère un mot connu et anticipe une signification sans vérifier le contexte exact. Cette erreur de réflexe, très fréquente, est accentuée par le stress et le rythme rapide du test.

La stratégie à adopter

Il est essentiel de ne pas se baser uniquement sur un mot entendu. Prenez le temps d’écouter toute la phrase, puis d’analyser ce que l’on vous demande réellement. Posez-vous la question suivante : “Le sens global de la phrase correspond-il à cette réponse, ou suis-je influencé(e) par un mot isolé ?”

À l’entraînement, habituez-vous à valider vos choix par le contexte et non par la reconnaissance rapide d’un mot. Cela développera une écoute plus stratégique et réduira vos erreurs liées à l’impulsion.

Piège n°2 : attendre une réponse directe

Le piège

Dans la partie Listening, notamment dans les dialogues courts, les réponses ne sont pas toujours formulées de manière explicite. Le test évalue votre capacité à interpréter des sous-entendus, des suggestions ou des nuances implicites. Attendre une réponse simple comme “Yes” ou “No” peut vous conduire à ignorer la bonne option simplement parce qu’elle ne correspond pas au format attendu.

Exemple typique

Contexte : un employé demande à son collègue :

“Do you think we’ll meet the deadline?”

Et son collègue répond :

“Well, we might need to work some extra hours this weekend.”

Un candidat inattentif cherchera une réponse affirmée ou négative. Pourtant, cette réponse signifie clairement que les délais sont serrés, et que pour les respecter, un effort supplémentaire est nécessaire. Il ne s’agit pas d’un “Yes” ni d’un “No”, mais d’une réponse implicite orientée solution.

L’erreur fréquente

Beaucoup de candidats écartent les bonnes réponses parce qu’elles ne correspondent pas à leur modèle mental de la “bonne réponse”. Ils cherchent une affirmation directe et ignorent les nuances, ce qui mène à des erreurs sur des dialogues pourtant compréhensibles.

La stratégie à adopter

Ne vous attendez pas à des formulations scolaires. Entraînez-vous à repérer les inférences, les suggestions, les objections implicites. Pour chaque question, demandez-vous : “Qu’est-ce que cette personne laisse entendre, même si elle ne le dit pas clairement ?”

L’écoute active de ce type de réponses, fréquentes dans les environnements professionnels réels, est une compétence-clé que le TOEIC évalue. Il est donc crucial de s’y préparer de manière ciblée.

Piège n°3 : lire les questions trop tard

Le piège

Dans la section Listening, les parties 3 et 4 contiennent des conversations ou monologues suivis de trois questions. Ces questions apparaissent avant l’audio, mais de nombreux candidats attendent d’avoir tout écouté pour les lire. Résultat : ils doivent ensuite réécouter mentalement le passage, perdent du temps, ou répondent approximativement.

Exemple typique

Un candidat lance l’enregistrement sans lire les questions. Il entend un échange sur un problème technique lors d’une réunion, mais ne sait pas à quoi il doit prêter attention. Quand vient la première question (“What is the main problem discussed?”), il réalise qu’il a manqué l’information clé… parce qu’il n’était pas concentré sur le bon niveau de compréhension.

L’erreur fréquente

On pense qu’il vaut mieux rester « vierge » de toute influence et se concentrer uniquement sur ce qu’on entend. Mais cette approche est contre-productive au TOEIC. Le test n’évalue pas seulement votre capacité à écouter, mais à comprendre en fonction d’un objectif précis.

La stratégie à adopter

Profitez des quelques secondes avant le début de l’audio pour lire rapidement les trois questions associées. Repérez les mots-clés ou éléments spécifiques à écouter : une date, un problème, une intention, un lieu… Cela oriente votre écoute et augmente considérablement vos chances d’identifier la bonne réponse du premier coup.

Entraînez-vous à cette gymnastique lors de vos sessions TOEIC : lire – écouter – répondre dans un flux continu. Cela améliore à la fois votre compréhension et votre gestion du temps.

Piège n°4 : perdre le fil d’un monologue

Le piège

Dans la partie 4 du Listening, vous écoutez des monologues (annonces, présentations, messages enregistrés). Ces passages sont plus longs, et de nombreux candidats décrochent rapidement s’ils bloquent sur un mot ou une phrase mal comprise. Une inattention de quelques secondes peut vous faire perdre le fil du passage et rater plusieurs réponses d’un coup.

Exemple typique

Vous écoutez un message vocal dans lequel une responsable de projet annonce le changement de salle d’une réunion. Si vous bloquez mentalement sur le mot “postponed” ou “rescheduled”, que vous ne comprenez pas immédiatement, vous risquez de perdre toute la suite : qui est concerné, à quelle heure, dans quelle salle…

L’erreur fréquente

Beaucoup pensent qu’il faut comprendre chaque mot. Résultat : au moindre doute, ils s’acharnent à chercher une traduction intérieure, et pendant ce temps, le monologue continue. Le cerveau reste bloqué en arrière alors que l’audio avance, ce qui crée une déconnexion totale avec le message.

La stratégie à adopter

Acceptez de ne pas comprendre 100 % du vocabulaire. Ce n’est pas nécessaire pour répondre correctement. Si un mot vous échappe, laissez-le passer. Concentrez-vous sur les informations essentielles : qui, quoi, où, quand, pourquoi.

Vous pouvez aussi utiliser une prise de notes rapide : notez un mot-clé ou un chiffre par question. Cela vous aide à rester ancré dans le déroulement logique du message et à retrouver rapidement l’info utile. L’objectif est de suivre le sens global, pas la perfection lexicale.

Piège n°5 : être déstabilisé par un accent

Le piège

Le TOEIC intègre une diversité d’accents anglophones dans ses enregistrements : américain, britannique, canadien, australien… Cette pluralité reflète les réalités du monde professionnel, mais peut désarçonner les candidats peu habitués à entendre autre chose que l’anglais standard (souvent américain).

Exemple typique

Un locuteur australien dit : “We need to get the car to the garage this arvo.” Le mot “arvo” est une abréviation informelle australienne pour “afternoon”. Le candidat, non exposé à cet accent ou à ce registre, peut se retrouver perdu, pensant avoir mal entendu ou ne comprenant pas le message global.

L’erreur fréquente

Certains candidats paniquent dès qu’un mot semble étrange ou mal articulé selon leur oreille. Or, ce n’est pas la prononciation qui est incorrecte, mais simplement différente. En restant focalisé sur la forme des mots au lieu de leur sens, on perd rapidement le fil du discours.

La stratégie à adopter

Intégrez une phase d’exposition à divers accents dans votre préparation. Vous pouvez écouter des podcasts, vidéos ou interviews avec des locuteurs britanniques, australiens ou canadiens. Même 5 minutes par jour permettent d’affiner l’oreille et de réduire l’effet de surprise le jour de l’examen.

De plus, identifiez les tournures ou expressions culturelles propres à chaque accent. Cela enrichit votre compréhension globale et vous aide à garder votre calme en situation réelle.

Piège n°6 : confondre les formes grammaticales attendues

Le piège

Dans la section Reading, partie 5, les questions à choix multiples testent très souvent votre capacité à reconnaître la nature grammaticale attendue dans une phrase. Beaucoup d’items utilisent des mots issus de la même famille (nom, verbe, adjectif, adverbe), ce qui pousse à la confusion si l’on ne maîtrise pas les constructions syntaxiques typiques de l’anglais professionnel.

Exemple typique

Phrase : “The manager was impressed by the intern’s _____ to handle pressure.”

Choix proposés :

  • A. ability
  • B. able
  • C. ably
  • D. enable

La bonne réponse est “ability”, un nom, car la préposition “by” attend ici un complément nominal. Beaucoup de candidats sont attirés par “able” (adjectif) ou “ably” (adverbe), car le mot leur est familier, sans vérifier la structure grammaticale exigée par la phrase.

L’erreur fréquente

On se concentre sur le sens des mots plutôt que leur fonction dans la phrase. Or, au TOEIC, il faut penser en termes de construction : quelle structure appelle quelle nature de mot ?

La stratégie à adopter

Lorsqu’une phrase contient des mots de la même famille, commencez toujours par identifier l’espace grammatical à combler : sujet ? verbe ? complément ? adjectif ? Cela vous évite les pièges de reconnaissance automatique et vous ancre dans une logique syntaxique fiable.

À l’entraînement, classez les mots par familles et repérez leurs structures typiques (“be + adjective”, “by + noun”, “to + verb”…). Cette méthode vous permettra de gagner en rapidité et en précision.

Piège n°7 : lire tout le texte inutilement

Le piège

Dans la section Reading, partie 6 (textes à compléter), les candidats doivent insérer des phrases ou mots dans de courts textes professionnels (emails, notes internes, annonces). Beaucoup pensent devoir lire l’intégralité du texte avant de répondre. Résultat : ils perdent un temps précieux à comprendre des parties inutiles au lieu de se concentrer sur le contexte immédiat de la question.

Exemple typique

Un candidat reçoit un email de quatre paragraphes, avec une phrase manquante au début du deuxième paragraphe. Il commence par lire tout l’email, du début à la fin, avant même de regarder les choix. Pourtant, seule la phrase précédente et la suivante suffisaient à choisir la bonne transition logique.

L’erreur fréquente

On croit qu’il faut absolument tout lire pour “bien faire”. Mais au TOEIC, les textes sont construits pour permettre une lecture ciblée. Lire de manière linéaire chaque ligne avant d’avoir localisé le blanc est contre-productif et fatigue inutilement.

La stratégie à adopter

Commencez toujours par repérer l’emplacement du blanc dans le texte. Lisez ensuite uniquement les lignes directement avant et après. Cela suffit souvent pour déterminer le ton, le lien logique ou l’information attendue.

Si la réponse ne vous semble pas claire, élargissez légèrement votre lecture. Mais gardez toujours à l’esprit que vous n’avez pas besoin de comprendre chaque détail pour répondre correctement. Ciblez, éliminez, et passez à la suite.

Piège n°8 : négliger les connecteurs logiques

Le piège

Dans les parties 5 et 6 du Reading, de nombreuses questions reposent sur l’utilisation des connecteurs logiques (however, therefore, although, in addition…). Ils indiquent le lien entre les phrases ou les idées. Les ignorer ou les confondre peut vous faire choisir une réponse qui semble correcte lexicalement, mais qui perturbe la cohérence du texte.

Exemple typique

Phrase à compléter : “The software update was released on time. _____, users experienced several issues during installation.”

Choix proposés :

  • A. Therefore
  • B. In addition
  • C. However
  • D. As a result

La bonne réponse est “However”, car elle introduit une opposition entre deux idées (livraison à temps vs. problèmes rencontrés). Les autres connecteurs n’ont pas cette fonction logique.

L’erreur fréquente

Certains candidats choisissent le mot qu’ils connaissent le mieux ou celui qui “sonne bien”, sans analyser la relation logique entre les deux phrases. Cela crée un contresens subtil, mais pénalisant.

La stratégie à adopter

Avant de répondre, identifiez clairement la nature du lien entre les deux phrases : opposition, cause, conséquence, ajout, condition… Ensuite, choisissez le connecteur qui correspond exactement à ce lien logique.

Pensez à créer une fiche de connecteurs avec leur fonction (adversatif, causal, conclusif, etc.) et à les mémoriser dans des exemples concrets. Cela vous permettra de répondre plus vite et avec plus de précision.

Piège n°9 : ignorer les indices visuels dans les textes

Le piège

Dans la partie 7 du Reading, certains textes incluent des éléments visuels ou structurels : objets de mail, dates, signatures, titres, horaires, encadrés… Ces indices ne sont pas décoratifs : ils apportent souvent une information essentielle pour répondre correctement, mais beaucoup de candidats les ignorent ou se concentrent uniquement sur le corps du texte.

Exemple typique

Vous lisez un email professionnel avec pour objet : “Schedule change for next week’s training”. Une question vous demande : “What is the main purpose of the email?” Plusieurs candidats chercheront la réponse dans le dernier paragraphe, alors que l’objet contenait déjà l’information principale, claire et concise.

L’erreur fréquente

On se focalise uniquement sur le contenu rédactionnel, sans tenir compte des éléments “secondaires”. Pourtant, dans le monde professionnel, les titres, objets et mises en forme sont là pour aller à l’essentiel rapidement. Le TOEIC reproduit cette logique.

La stratégie à adopter

Avant même de lire le corps du texte, prenez 5 secondes pour scanner l’objet, la date, la signature ou les éventuels encadrés. Ce sont souvent des raccourcis efficaces vers la bonne réponse.

Apprenez à reconnaître ces repères comme des “panneaux de signalisation” dans un texte : ils orientent votre lecture, et peuvent vous éviter de perdre du temps à relire plusieurs fois.

Piège n°10 : mal gérer son temps sur la partie Reading

Le piège

La partie Reading du TOEIC est chronométrée pour l’ensemble des sections (parties 5, 6 et 7), ce qui signifie que chaque minute compte. Beaucoup de candidats passent trop de temps sur les premières questions (souvent les plus courtes) et se retrouvent sous pression à la fin, face aux textes les plus longs. Résultat : précipitation, mauvaise lecture, réponses aléatoires…

Exemple typique

Un candidat consacre 15 minutes à la partie 5, croyant “prendre un bon départ”. Il ne lui reste alors que 45 minutes pour les parties 6 et 7, qui demandent plus de lecture et d’analyse. Il commence à paniquer, saute des questions et finit avec plusieurs blancs… qui valent zéro point.

L’erreur fréquente

On pense que bien répondre au début compensera les erreurs plus tard. Mais chaque question du TOEIC vaut le même nombre de points. Une mauvaise gestion du temps vous fera perdre autant — voire plus — que quelques erreurs grammaticales. Le stress s’accumule, et les performances baissent.

La stratégie à adopter

Répartissez votre temps en fonction du volume de lecture. Par exemple :

  • Partie 5 : 10 minutes
  • Partie 6 : 8 à 10 minutes
  • Partie 7 : 45 minutes environ

Utilisez une montre ou une horloge pour vous repérer et passer à la section suivante sans insister trop longtemps sur une question difficile. Ne laissez jamais de case vide : même une réponse au hasard vaut mieux que rien.

Conclusion

Réussir le TOEIC Listening and Reading ne repose pas uniquement sur un bon niveau d’anglais, mais aussi sur une connaissance fine du format et des pièges récurrents. En évitant ces erreurs classiques, vous optimisez non seulement votre score, mais aussi votre gestion du temps, votre concentration et votre confiance le jour de l’examen.

Chaque section du test présente ses propres subtilités : écoute active dans les dialogues, logique grammaticale dans les phrases à compléter, stratégies de lecture ciblée dans les textes longs… En intégrant ces réflexes à votre entraînement, vous transformerez chaque piège potentiel en opportunité de gagner des points.

N’hésitez pas à relire cet article avant vos sessions de révision ou de simulation. Et surtout, gardez en tête que le TOEIC est un test de méthode autant que de langue. Avec une préparation stratégique, vous avez toutes les clés pour progresser rapidement et atteindre vos objectifs.

Récapitulatif rapide des 10 pièges à éviter au TOEIC Listening & Reading

Piège Erreur fréquente Solution stratégique
1 Se fier à un mot entendu Ignorer le sens global Écouter toute la phrase
2 Attendre une réponse directe Négliger l’implicite Chercher l’inférence
3 Lire les questions tardivement Perdre les infos dès le début Lire avant de cliquer “Play”
4 Bloquer sur un mot inconnu Perdre le fil du monologue Laisser filer, capter les infos clés
5 Être déstabilisé par un accent Ne connaître qu’un accent Diversifier les écoutes
6 Confondre forme grammaticale attendue Choisir par ressemblance Identifier la nature grammaticale
7 Tout lire, même quand ce n’est pas nécessaire Perdre du temps inutilement Ne lire que le contexte proche du blanc
8 Négliger les connecteurs logiques Choisir un lien incohérent Analyser le lien logique évident
9 Ignorer les indices visuels Ne pas profiter des repères clés (objet, date…) Scanner l’objet et les indices avant lecture
10 Gérer mal son temps sur le Reading Se concentrer trop sur le début Allouer un temps précis à chaque section

F.A.Q.

Le TOEIC est considéré comme un examen difficile car il évalue les compétences linguistiques des candidats en anglais sur un large éventail de sujets, de la grammaire à la compréhension orale en passant par la lecture. De plus, l’examen comporte des pièges qui peuvent tromper les candidats non préparés.
Pour éviter les pièges du TOEIC, il est important de se préparer à l’avance en utilisant des ressources pédagogiques variées, telles que des livres d’exercices, des cours en ligne, des examens blancs, etc. Il est également important de se familiariser avec le format de l’examen et les types de questions posées.
Pour améliorer sa compréhension orale pour le TOEIC, il est conseillé d’écouter régulièrement de l’anglais parlé, que ce soit à travers des podcasts, des émissions de radio ou des vidéos en ligne. Il est également recommandé de travailler sur sa prononciation et son accent en écoutant et en répétant des phrases courtes.
Pour réussir la partie lecture du TOEIC, il est important de travailler sa vitesse de lecture et sa capacité à comprendre rapidement le sens général d’un texte. Il est également conseillé de se familiariser avec le vocabulaire et les expressions courantes utilisées dans les textes professionnels.
Le temps nécessaire pour se préparer efficacement au TOEIC dépend de votre niveau d’anglais actuel et de vos objectifs. En général, il est conseillé de prévoir au moins 3 mois de préparation régulière pour améliorer ses compétences et maximiser ses chances de réussite.
Vous souhaitez une formation personnalisée ?
Contactez-nous et concevons ensemble vos plans de formations individualisés
Démarrer mon projet